« Que sont devenus ces êtres créés à l’image d’une royale féminité? C’est avec horreur que l’on doit se détourner d’eux. Où voit-on encore, chez la femme d’aujourd’hui, l’authentique pudeur, expression de l’intuition la plus délicate de la noble féminité? Elle est si sauvagement défigurée qu’elle doit être abandonnée au ridicule.
La femme d’aujourd’hui a, certes honte de porter une robe longue lorsque la mode la prescrit courte, mais elle n’a pas honte, au cours de festivités, de dénuder près des trois quarts de son corps pour l’offrir aux regards de tous. Et, en ce cas, bien entendu, non seulement aux regards, mais pendant la danse, inévitablement aux mains également! (…)
La plus grande partie du monde féminin ne mérite plus de porter le nom honorable de femme! Et puisqu’elles ne peuvent jamais se présenter comme des hommes ni devenir des hommes, elles ne sont plus finalement dans la création postérieure, que des parasites qui selon les Lois inflexibles de la nature seront obligatoirement exterminés.
Parmi toutes les créatures, la femme est celle qui se trouve la plus éloignée de la place qu’elle devrait occuper dans la création postérieure. Elle est en son genre, devenue la plus lamentable figure parmi toutes les créatures! Elle devait, en effet, se corrompre dans l’âme, car dans sa légèreté elle sacrifie étourdiment son intuition la plus noble, sa force la plus pure à une vanité extérieure ridicule, et elle bafoue ainsi en se riant, la mission qui lui était dévolue par son Créateur. Avec une telle superficialité, le salut est exclu; car les femmes rejetteraient les Paroles ou ne pourraient même plus les comprendre, ni les concevoir.
Aussi, faut-il que de l’horreur, surgisse la nouvelle, la vraie femme, celle qui doit devenir la médiatrice et offrir ainsi la base d’une vie nouvelle et d’une activité humaine voulues par Dieu dans la création postérieure, délivrée du poison et de la pourriture. » Lire la suite...
Abdruschin
Extraits de Exposé 13, Résonances du Message du Graal 1